Notre approche

Nous sommes des utopistes, des militants mais aussi des praticiens et des experts de la transition vers le développement durable. Acupuncteurs du changement, nous concentrons nos efforts sur les points d’énergie les plus puissants pour transformer les entreprises :

Marques positives

Une marque n’a de sens que si elle est porteuse d’une raison d’être, d’un engagement à contribuer positivement à la société. Aujourd’hui, dans la lignée de la loi PACTE, ce concept de « purpose » est en vogue dans le marketing et la RSE. Tant mieux. Mais pour éviter le « purpose-washing » et aller au-delà des déclarations d’intention, il est essentiel d’ancrer la raison d’être dans les spécificités de l’entreprise, de la traduire dans son offre de produits et services, dans ses pratiques quotidiennes.
À l’heure de la généralisation des offres responsables, il est temps de connecter le sens et les actes, le « purpose » et les engagements, les stratégies de marque et celles de développement durable.
C’est pourquoi nous avons créé la Marque Positive®.

économies locales

Face à la mondialisation et ses dérives, nous sommes convaincus que le territoire est la bonne échelle pour redynamiser les emplois, recréer du lien et de la cohésion sociale, et répondre de manière efficace aux défis écologiques (réduction des transports, résilience climatique…). L’ancrage économique local d’une entreprise lui permet en plus de cultiver la proximité avec ses clients et parties prenantes, et de donner plus de sens à ses activités – par des actes et des preuves. À l’heure des makers et des villes fabricantes, il est urgent de renouer avec des modèles qui permettent aux entreprises de produire un peu plus localement pour répondre aux besoins locaux et relocaliser quelques « fuites économiques »…
Enfin, au-delà du strict périmètre de leurs activités, les entreprises peuvent jouer un rôle pollinisateur en faisant émerger des entrepreneurs locaux, en développant des activités répondant aux besoins locaux, et en incitant les acteurs du territoire à s’approvisionner davantage auprès des entreprises locales….

Innovation positive

Vingt-cinq ans après son apparition, le développement durable ne parviendra à résoudre les problèmes planétaires que s’il transforme directement les offres de produits et services, les stratégies commerciales et les modèles économiques – dans un sens qui ne se contente pas de minimiser les impacts négatifs des activités mais vise une contribution positive à la société et à la planète.
De la même façon, l’innovation échoue lorsqu’elle est déconnectée des vrais problèmes et enjeux de notre époque. Nous croyons qu’il est temps de faire converger développement durable et innovation : l’entreprise est une force puissante, combinant la créativité humaine et le pouvoir de l’argent, qui peut être mobilisée pour résoudre les grands enjeux de notre temps – au cœur de sa raison d’être, de son modèle économique, de son offre de produits ou services.
Non seulement le développement durable intégré à la stratégie est un booster d’innovation et un levier de rentabilité mais, inversement, l’innovation permet de porter les problématiques RSE à un niveau supérieur d’engagement et d’impact.

RSE intégrée

Chez UTOPIES, nous croyons qu’il est nécessaire, dans la phase plus mature qu’abordent désormais les entreprises, d’intégrer le développement durable en amont des prises de décisions, au cœur de la stratégie de l’entreprise et de sa raison d’être.
À l’heure du rapport intégré, qui fait converger la performance financière et la performance sociale ou environnementale, et afin de ne pas gérer la RSE « en silo », de façon accessoire ou indépendante, nous nous attachons, dans nos missions de stratégie ou de reporting, à mettre l’accent sur la dimension économique du développement durable : analyse et alignement du modèle économique sur les enjeux planétaires et des Objectifs de Développement Durable ; intégration des enjeux sociétaux à la stratégie d’innovation, à la démarche commerciale et au positionnement des marques ; mesure de la performance globale, tant du point de vue des risques (« less bad ») que de celui des opportunités (« more good ») ; mise en cohérence de l’organisation et du système d’incentives avec les objectifs affichés par l’entreprise ; renforcement de sa responsabilité fiscale et plus largement de son empreinte économique sur ses territoires ; hiérarchisation des enjeux prioritaires en interaction avec les parties prenantes ou encore intégration de celles-ci à sa gouvernance.
Ainsi abordé, le développement durable devient un véritable outil transverse et stratégique, qui fait rimer sens et croissance, en nourrissant un récit collectif puissant capable de fédérer les différents publics de l’entreprise.